14/01/2010

Klaus Schulze - Moondawn (1976)






















Un des chefs d'œuvre Berlin School, avec le X, du grand ordonnateur de la musique électronique allemande des 70's : Klaus Schultze, s'adjoignant le groove d'Harald Grosskopf aux percussions. A l'époque où "musique électronique" ne rimait pas avec staticité chiante, mais compositions évolutives. Rien à voir, donc, avec les âneries playschool bontempi deux-doigts si prisées actuellement.

Buy it or die

5 commentaires:

  1. C'est pas Klaus Schultze c'est Klaus Schulze ... Vas te cacher

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  2. ps : le terme "ambient" n'est apparu qu'en 1978 avec Briano Eno "1978 Ambient 1 / Music for Airports" . C'est historique.
    Klaus Schulze c'était du "Krautrock" ...
    Je pense qu'avant de frimer avec un blog de musique volée et de chroniques moisies, la moindre des choses c'est d'avoir un minimum de culture musicale, chose que tu n'as visiblement pas (du tout du tout)!

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  3. ps2 : Le MOOG n'est pas un instrument c'est une MARQUE de synthétiseur (et aussi le nom du créateur). Ça faisait déjà 14 ans que MOOG sortait des synthés à l'époque de "Moondawn", donc "instrument nouveau" deux fautes en deux mots je me marre. Par ailleurs les MOOG de l'époque ne nécessitaient AUCUNE compétence musicale il faut juste connaître la "synthèse modulaire soustractive" pour s'en servir ...
    et sur "Moondawn" c'est surtout un BIG MOOG Modulaire qui est utilisé ...
    Quelle chronique de nain. Tu te plantes a chaque ligne, et la faute d'ortho dans le nom de l'artiste donne le ton. Mais t'as quel age toi ? 12 ans ?
    Bravo la génération mp3. Vous avez aucune culture, allez vous pendre.

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  4. Parler de culture en affirmant que Schulze (ça y est ? ça va mieux comme ça ?) fait du krautrock sur Moondawn, c'est impropre : sur cet album-ci, il ne s'agit ni plus ni moins que de musique électronique Berlin School. Schulze a certes fait du krautrock aux débuts d'Ash Ra Tempel, mais Moondawn n'a strictement rien à voir avec, je sais pas, les impro en roues libre et aux bavures incontrôlables d'une session d'Amon Düül II par exemple.
    Quant à tes remarques sur le MOOG, effectivement tu relèves là un léger abus de langage : merci de corriger l'imperfection. Par contre, je maintiens : faire de l' "ambiant" (ou de la musique électronique si tu veux) requiert de réelles compétences musicales, quoiqu'en pensent certains qui ont vite fait de faire tourner en boucle une ligne de synthé, voir même de surimposer les couches comme de vulgaire legos. Pourquoi ? 1) il ne s'agit pas, comme dans le rock, de travailler à partir d'une base rythmique toute donnée, ou d'un embryon de riff qu'on développe. Dans cette démarche, "tout" reste à créer, matière sonore inclue. 2) Composer de l'ambiant, c'est comme essayer de retenir de l'eau les mains en coupe : à tout moment, le "flux" risque de nous échapper. Plus c'est répétitif et atrophié, plus c'est facile. Par contre, proposer de longues plages évolutives, maintenir l'intérêt et homogénéité sonore, c'est une autre paire de manches : ce que Schulze fait.
    Quant à généraliser ainsi, je trouve ça moche : mes bévues n'ont pas à éclabousser les autres contributeurs. Cela dit, je suis en cours d' "apprentissage", pour ce qui est de ces genres que je ne maîtrise pas encore bien. Sinon, pour ce qui est de la musique stochastique ou du BM, je te prends quand tu veux. ;)

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  5. Merci de m'avoir permis de le découvrir.
    Anonyme ce que tu crois savoir t'amène à user d'un ton de véritable connard. Inexcusable.

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